Comme à l’accoutumée,
chaque année, la diaspora camerounaise au Congo, précisément dans la ville capitale de Kinshasa se rencontre
pour la célébration de leur fête nationale de l’unification du Cameroun. En
effet, pour la petite ’histoire, à l’origine, on parlait du Cameroun anglophone
et du Cameroun francophone, autonome chacun de
son côté : c’est l’Etat Fédéral du Cameroun. Cette division est
issue de la tutelle anglaise et française respectivement. C’est que les deux
pays colonisateurs ont fait coalition pour chasser le premier, l’Allemagne qui
a réussi, auparavant, à mettre fin à la tutelle espagnole d’antan.
A l’issu du Référendum du
20 mai 1972, il y a eu la réunification des deux Cameroun. D’où, de la
République fédérale du Cameroun, on passe à la République Unie du Cameroun avec
un gouvernement central ayant à sa tête, un chef d’Etat, le président Amadou
AHIDJO. C’est ainsi que les 475.000 Km2 du territoire national
seront divisés en 10 départements à la tête desquelles règnent des gouverneurs
dont les populations ont la pleine conscience d’appartenir un unique pays fondé
sur les mêmes idéaux, les mêmes et un même patrimoine sur toute l’étendue du
pays. Et depuis lors, chaque année, le peuple Camerounais se réjouis de cette
unification qui jour pour jour, compte aujourd’hui, 40 ans.
C’est dans cet ordre
d’idée que la communauté camerounaise de Kinshasa n’est pas de reste. Chaque
année, une messe est organisée à l’occasion par l’association des religieux
Camerounais au Congo, ARCACO en sigle.
Le lieu habituel de ladite messe est le
Scolasticat des Oblats de Marie Immaculée de Kintambo (Kinshasa/RDC). A cette
fête, l’ARCACO joint tous les laïcs Camerounais ainsi que les étudiants
Camerounais et Camerounaises de Kinshasa.
Notre représentant, monsieur l’ambassadeur n’a jamais été absent et honore toujours ce jour de sa présence. Mais cette année, nous avions remarqué son absence et aussi celui de son représentant, car empêchés.
Notre représentant, monsieur l’ambassadeur n’a jamais été absent et honore toujours ce jour de sa présence. Mais cette année, nous avions remarqué son absence et aussi celui de son représentant, car empêchés.
La messe a eu lieu à 10 h
dans l’auguste chapelle des Oblats de Marie Immaculée de Kintambo. Elle a été
présidée par le père Armand, Joséphite de Kimwenza assisté du père diacre
Abraham HAMAN, omi qui a dit l’homélie.
Cette messe a été animée par la grande chorale camerounaise composée des religieux et étudiants. Une chorale qui a mis en valeur la diversité culturelle du Cameroun à travers ses chants et qui par sa voix incomparable, a donné l’avant goût du réel et nous a fait vivre la nostalgie du pays.
Elle a pris fin vers 12h 30mn. Après un petit temps de causerie, d’échange des nouvelles et de prise de photo en petits groupements dans la cours du Scolasticat, nous nous sommes retrouvés dans la salle de fête appelée ‘’Oser grand’’ pour la suite de la fête.
Un repas fraternel a marqué la suite ; et comme d’habitude, une animation musicale a clôturé la journée. L’ambiance était de taille. Les forces refaite, la salle a été dégagée pour laisser libre place à la danse.
Au rythme de
différentes musiques, la communauté toute entière sans distinction d’âge, s’est
réjouis chacun à sa manière jusqu’à 15h 00. Et à 15h 30mn, la fête a pris fin
et ce fut la débandade totale. Ainsi, les compatriotes, tout heureux, se sont
donné rendez-vous pour l’année prochaine. Qu’il plaise à Dieu de nous prêter
longue vie et bonne santé.
Cette messe a été animée par la grande chorale camerounaise composée des religieux et étudiants. Une chorale qui a mis en valeur la diversité culturelle du Cameroun à travers ses chants et qui par sa voix incomparable, a donné l’avant goût du réel et nous a fait vivre la nostalgie du pays.
Elle a pris fin vers 12h 30mn. Après un petit temps de causerie, d’échange des nouvelles et de prise de photo en petits groupements dans la cours du Scolasticat, nous nous sommes retrouvés dans la salle de fête appelée ‘’Oser grand’’ pour la suite de la fête.
Un repas fraternel a marqué la suite ; et comme d’habitude, une animation musicale a clôturé la journée. L’ambiance était de taille. Les forces refaite, la salle a été dégagée pour laisser libre place à la danse.
TEBENE PATIZERE Jacques,omi
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