lundi 18 mars 2013

Résume de la déclaration sur les relations de l’Eglise avec les religions non chrétiennes, Nostra Aetate du 28 octobre 1965 in les documents du concile Vatican II. Editions Paulines, Kinshasa, 2013, Pp 603-611

1-      Préambule

Le  monde devient de plus en plus uni. L’Eglise est appelée aussi à l’être. Elle doit chercher l’unité et la charité entre les hommes et les autres religions. Car tous sont enfant d’un même Père de qui vient le salut.

2-      les diverses religions non chrétiennes

L’homme est naturellement un être religieux. Ce qui le pousse à développer au cours de l’histoire le sens religieux. Par contre, certaines religions comme l’hindouisme, le bouddhisme seront liées au progrès culturel. Dans l’hindouisme, le mystère divin s’exprime par la fécondité inépuisable des mythes et les efforts pénétrants de la philosophie.  Quand au bouddhisme, l’on voit dans le monde changeant une imperfection. Pour pallier à cette imperfection, l’on y enseigne une autre voie aidant à acquérir un état de libération parfait à travers une certaine vertu liée à l’effort personnelle ou à un secours venu d’en haut. L’Eglise catholique quand à elle, pose un regard respectueux sur la manière de procéder de ces religions. Elle voit dans ces pratiques bien que différentes des siennes, un rayon de la vérité qui illumine tous les hommes. Toutefois, elle ne s’empêche sans cesse d’annoncer le Christ comme unique Sauveur du genre humain et en qui se trouve la plénitude de la vie religieuse. Cependant, l’Eglise respecte ces religions et cherche une cohabitation pacifique à travers une bonne collaboration et le dialogue.

            3- la religion musulmane

L’Eglise catholique garde un profond respect pour les musulmans. Ils ont foi en un seul Dieu dont ils cherchent de tout cœur à faire la volonté. Ils ne reconnaissent pas Jésus comme Fils de Dieu, mais ils le vénèrent comme un grand prophète. A l’égard de la Vierge Marie, ils réservent un grand honneur et l’invoquent avec piété. Ils croient à la résurrection des morts et aux jugements derniers. Ils ont de l’estime pour la vie morale et rendent un culte à Dieu par la prière, l’aumône et le jeune. L’Eglise à travers le Saint Concile les exhorte à dépasser les dissentions connu au cours de l’histoire afin de promouvoir une compréhension mutuelle. Que tous travaillent pour la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté.

4-      la religion juive

Le concile reconnait que l’histoire du christianisme est étroitement liée à l’histoire du peuple juif. Le christianisme à reçu la Révélation de l’Ancien Testament. Le Christ a réconcilié juifs et Gentils par sa croix et en Lui-même, des deux, il a fait un seul bien que  la majorité des juifs refusent l’Evangile et que certains ce sont même opposés à sa diffusion. Mais vu les racines communes de ces religions, le concile exhorte et encourage la connaissance et l’estime mutuelle basées sur les textes bibliques et théologiques, sur un dialogue fraternel.  Par ailleurs, quand à la question de la mort du Christ, le Concile refuse toute imputation aux juifs de ce fait. L’Eglise, définit comme le Nouveau peuple de Dieu, n’exclu aucun peuple et ne porte à personne la responsabilité de la mort du Christ. Le Christ pour son amour immense pour les hommes  s’est soumis lui-même volontairement à la passion et à la mort pour le salut de tous. En effet, la croix du Christ est pour l’Eglise un signe de salut universel et source de toute grâce.

5-      la fraternité universelle excluant toute discrimination

Ayant Dieu pour Père et créé a son image, tous les hommes devraient s’aimer. Ainsi toute discrimination est contraire à la volonté de Dieu.

                                                                                          Présenté par TEBENE PATIZERE Jacques.

RESUME DE LA TROISIEME PARTIE DE L’EXHORTATION APOSTOLIQUE POST-SYNODALE SACRAMENTUM CARITATIS DU PAPE BENOIT XVI par TEBENE PATIZERE Jacques


 
          Le livre intitulé sacramentum caritatis est une exhortation Apostolique post-synodale du Pape Benoît VXI. C’est un document de 133 pages repartis en 3 grandes parties dont la troisième fera l’objet de notre résumé.  Ce document en général propose une actualisation de certaines vérités essentielles de la doctrine Eucharistique, encourage à une célébration liturgique digne et en fin recommande une pratique quotidienne de la vie eucharistique.

En effet, l’Eucharistie, mystère à vivre, qui est la troisième partie du livre et dont notre travail consiste à la résumer comprend trois sous points : d’abord, la forme eucharistique de la vie chrétienne ; puis le mystère à annoncer et enfin, eucharistie, mystère à offrir au monde.

Du premier point : la forme Eucharistique de la vie chrétienne, le Pape nous fait comprendre que, l’Eucharistique est dans toute sa force, source et sommet de l’existence chrétienne, le commencement et l’accomplissement du culte nouveau. Pour ce faire, elle doit être l’offrande totale de chaque chrétien en communion avec l’Eglise à offrir à Dieu tous les jours de sa vie. C’est ainsi que le Catéchisme de l’Eglise Catholique au numéro 1369 illustre que l’eucharistie  qui est sacrifice du Christ devient également celui de l’Eglise et des fidèles.

De ce fait,  le pape ressort que « vivre selon le dimanche » l’expression chère à saint Ignace trouve place dans la nouveauté Eucharistique ; en introduisant dans la vie et conscience du chrétien à vivre le précepte dominical comme une obligation de tous les jours. Le contraire fera que, la vie de la foi du chrétien soit en danger surtout quand on ne ressent plus le désir de participer à la célébration Eucharistique où l’on célèbre et fait mémoire du mystère pascale. Ainsi, ne pas avoir le sens du dimanche comme jour du Seigneur à sanctifier est le signe d’une perte du sens authentique de la liberté chrétienne et de la liberté des fils de Dieu.

Dans cette logique, le Saint Père, pense qu’il est nécessaire que le sens du repos et du travail s’incarne dans la conscience des chrétiens. Les missionnaires et tous les autres ouvriers apostolique doivent rappeler urgemment et à chaque instant  que le jour du Seigneur est aussi le jour du repos par rapport au travail.

Néanmoins, le Pape reconnait que le travail est d’une importance capitale pour la réalisation de l’homme et pour le développement de sa société. C’est pourquoi il convient qu’il soit toujours organisé et accompli dans le plein respect de la dignité humaine et au service du bien commun. En même temps, il est indispensable que l’homme ne se laisse pas emporter dans l’activisme, qu’il n’en fasse pas une idole, prétendant trouver en lui le sens ultime et définitif de la vie. Mais c’est seulement dans le jour consacré à Dieu que l’homme peut comprendre le sens de son existence aussi bien que de son travail.

Par ailleurs, il reconnait que le problème de manque des prêtres dans certains endroits pose un problème non négligeable en ce qui concerne la célébration Eucharistique. Pour ce faire, il faut avouer aussi que les chrétiens se trouvent face à des situations très différentes les unes des autres. Le Synode a tout d’abord recommandé aux fidèles un certain sacrifice : se rendre dans des églises du diocèse où est garantie la présence du prêtre, même quand cela demande un certain.

Mais quand la distance est grande rendent et rende pratiquement impossible la participation à l’Eucharistie dominicale, il est important que les communautés chrétiennes se rassemblent également pour une célébration sans ministre sacré afin de louer le Seigneur et faire mémoire du jour qui lui est consacré. Faut-il encore que cela soit fait sur base d’une instruction appropriée sur la différence entre la Messe et les assemblées dominicales en absence de prêtre.

Dans ce cas, le soin pastoral de l’Eglise doit veiller à ce que la liturgie de la Parole, organisée sous la présidence d’un diacre ou d’un responsable de la communauté légalement désigné et à qui l’on a confié ce ministère, le faire selon un rituel spécifique, élaboré par les conférences épiscopales et approuvé par elles à cette fin. L’on veillera aussi à ce que ces assemblées en absence de prêtre ne donnent pas prise à   des visions ecclésiologiques qui ne seraient pas fidèles à la vérité de l’Evangile et à la Tradition de l’Eglise.

Outre, de tout ce qui a été, il en ressort aussi que le mystère Eucharistique nous met en dialogue avec les différentes cultures où le Christ est la Tête de l’Eglise. De ce fait, tous les chrétiens forment à leur tour « la race choisie, le sacerdoce royal, la nation sainte, le peuple qui appartient à Dieu pour annoncer ses merveilles », (1P 2, 9). Cependant, étant mystère à vivre, l’Eucharistie s’offre à chacun de nous dans la condition où il se trouve. Et fera de sa situation existentielle le lieu où il faut vivre quotidiennement la nouveauté chrétienne.

Selon le Pape, si le sacrifice Eucharistique nourrit et fait grandir dans le chrétien ce qu’il a reçu par le baptême, duquel nous sommes tous appelés à la sainteté, cela doit apparaitre et se manifester dans les situations ou dans les états de vie dans lesquels chaque chrétien se trouve pour que tout soit fait à la gloire de Dieu. Qu’en est il donc de la deuxième partie ?

 Dans la deuxième partie : Eucharistie, mystère à annoncer, le Pape met en évidence le couple « Eucharistie et mission ». C’est pour ressortir que nous ne pouvons garder pour nous l’amour que nous célébrons dans le sacrement de l’Eucharistie. En effet, ce dont le monde a besoin, c’est l’Amour de Dieu, c’est rencontrer le Christ et croire en lui.

Ce qui fait l’Eucharistie ne saurait pas seulement être source et sommet de la vie de l’Eglise mais aussi source et sommet de la mission. Car : « une Eglise authentiquement Eucharistique est une Eglise missionnaire ». Suivant donc l’interpellation de 1 jean 1,3 nous avons-nous aussi cette grande mission de pouvoir dire avec conviction : « ce que nous avons contemplé, ce que nous avons entendu, nous vous l’annonçons à vous aussi, pour que, vous aussi, vous soyez en communion avec nous ». Raison pour laquelle, la mission première et fondamentale de tout chrétien, est de rendre témoignage par notre vie.

Quant à la dernière partie : Eucharistie, mystère à offrir au monde, il est question de savoir que, l’Eucharistie est pain rompu pour la vie du monde. « Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donné pour que le monde ait la vie » (Jn 6, 51). Par ces paroles, le Pape laisse entendre que le Seigneur révèle la véritable signification du don de sa propre vie pour tous les hommes. C’est ainsi que, mainte fois, les Evangiles nous rapportent les sentiments de Jésus à l’égard des hommes, tout particulièrement des personnes qui souffrent, des pécheurs (Cf. Mt 20, 30, Mc 6,34, Lc 19, 41). Pour cela, autours de l’Eucharistie doit naître le service de la charité face au prochain. Cette charité « consiste précisément dans le fait que j’aime aussi, en Dieu et avec Dieu, la personne que je n’apprécie pas ou que je ne connais même pas ». Cela nécessite d’apprendre à voir la personne humaine  non plus seulement avec un regard de sentiment, mais dans la vision de Jésus Christ. Seulement ainsi, nous reconnaitrons en les personnes que nous  approchons des frères et des sœurs pour lesquels le Seigneur a donné même sa propre sa vie.

Suite à cela donc, nos communautés, quand elles célèbrent l’Eucharistie, doivent prendre toujours conscience que le sacrifice du christ est pour tous, et que l’Eucharistie presse alors toute personne qui croit en Lui à se faire « pain rompu » pour les autres et à s’engager pour un monde plus juste et fraternel. D’où l’impératif de l’implication sociales du mystère Eucharistique. Cette union au Christ se réalisant dans le sacrement doit nous ouvrir aussi à une nouveauté dans nos rapports sociaux. Cette union au Christ est en même temps celle avec tous ceux auxquels Il se donne.

C’est dans cette perspective de la responsabilité sociale de tous les chrétiens que les pères synodaux ont rappelé le sens profond du Christ comme mystère de libération nous interpelant et nous provoquant continuellement. Par conséquence, celui qui participe à l’Eucharistie doit s’engager à construire la paix dans notre monde marqué de beaucoup de violences et de guerres, et donc aujourd’hui de façon particulière, par le terrorisme, la corruption économie et l’exploitation sexuelle.

Concluons en fin que cette troisième partie de Sacramentum caritatis sur l’Eucharistie nous à fait découvrir  qu’il est nécessaire et urgent dans l’Eglise que le Très Saint Mystère de L’Eucharistie objet de foi, doit être célébrée avec dévotion et vécu intensément dans tous les différents aspects de notre vie. Car le Seigneur qui s’est offert définitivement dans l’Eglise par le mystère eucharistique demeure toujours parmi nous. Et la joie de sa présence parmi nous doit nous pousser à la partager avec les autres.

 

 

 

MOTS DE REMERCIEMENT DES JEUNES PROFES OBLATS tenu par TEBENE PATIZERE Jacques.


 
« C’est l’appel de Jésus Christ, perçu en Eglise à travers les besoins de salut des hommes, qui réunit les missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Il les invite à le suivre et à prendre part à sa mission par la parole et par l’action.» C. 1

       Révérend père Raymond NANI, supérieur provincial des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée de la Province du Cameroun ;

       Révérend père Paulin BEWA, vicaire provincial et curé de la Paroisse saints Raphael et Tobie d’Oliga ;

       Révérends Pères Oblats ;

       Révérends Pères ;

       Messieurs les Abbés ;

       Révérendes sœurs ;

       Révérends frères ;

       Chers associés Oblats ;

       Sa majesté, le chef du village de Fondenera, chers parents, respectables distingués invités en vos titres et qualités, chers paroissiens : loué soit Jésus Christ.

          En ce jour béni du Seigneur où nous fêtons l’Assomption de la Vierge Marie et à l’occasion duquel l’engagement perpétuel des jeunes Oblats, je prends la parole au nom de nos frères profès perpétuels, pour vous exprimer toute notre gratitude. Mais avant, il convient de rappeler que, depuis longtemps, nous sommes membres de cette grande famille religieuse des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Aujourd’hui nous faisons un autre grand pas pour nous engager définitivement. Ce grand pas, nous ne l’avons pas fait seul, c’est le fruit d’une longue formation, laquelle nous a rendus digne aux yeux de notre congrégation. Cette dernière a confirmé positivement nos demandes et nous lui disons merci. Merci, non seulement à cause de la marque de cette confiance mais aussi du sérieux avec lequel, notre sous Région de l’Afrique Madagascar, a organisé cet événement. Durant tout un mois, elle nous préparée à travers sessions et retraite à prendre conscience de la dimension de cet engagement définitif.

          Ce temps a été pour nous une occasion de contempler comment le Seigneur nous a conduit durant toutes ces années de formation et en même temps, comment il nous a permis à renouveler notre choix devant Dieu. Un choix qui pour nous, reste déterminant pour toute la vie. Et nos ainés qui nous ont suivi et entretenu durant tout ce mois préparatoire à ce grand événement ont longuement insisté sur ce point. Ils nous ont invités à aimer notre congrégation, à intégrer plus profondément ses valeurs missionnaires et préserver son identité de religieux oblats par un bon témoignage de vie. L’esprit oblat, nous rappellent ils ensuite, reposent sur le mystère de la croix. Par ce fait même, ils  nous invitent à avoir toujours les yeux fixés sur Jésus Christ. Tout faire pour la gloire de Dieu, consacrer sa force, son intelligence, son énergie afin de conquérir les âmes pour qu’elles retournent à Dieu et travailler aussi pour notre propre sanctification. Bref, nous devons être conscient d’être des serviteurs du Christ et aimer, servir, témoigner doivent demeurer notre domaine de définition.

          Chers ainés, nous vous rassurons de n’avoir pas prêché dans le désert. Comptant sur le secours de la sainte grâce de Dieu, des nos efforts personnels et du concours de vos soutiens dans les conseils, nous vous rassurons que vous aurez des successeurs, et le Christ, des ouvriers pour sa moisson. Un seul mot à vous dire, Merci.

          Nous adressons aussi nos remerciements à sa majesté le chef du village de Fondenera qui a bien voulu honorer de sa présence ce grand événement. A vous chers parents, grand merci. Merci non seulement pour le fait d’être venu mais pour la vie que nous tenons de vous par la grâce de Dieu. Comme tout parent africain, vous aviez sans doute pensé un certain projet sur nous, mais quand Dieu est venu tout basculer dans vos projets, vous ne vous en êtes pas affolés. Nous vous en remercions. Merci pour ce grand don que vous offrez à l’Eglise. A vous chers amis, vous tous qui avez accepté honorer de votre présence cet événement, recevez nos sincères gratitudes. Vous auriez pu rester indifférent à nos invitations, vous auriez pu vaquer à vos occupations, ou tout simplement vu la distance  qui vous sépare de cette paroisse, décider de rester chez vous fêter l’Assomption. Mais non, votre décision a été de vous joindre à nous afin de partager ensemble ce moment de joie. Nous vous disons merci et que Dieu vous bénisse.

          Révérend père provincial et nos supérieurs de délégations respectifs, permettez nous de vous remercier de la confiance que vous  manifestez envers nous. Malgré nos imperfections, vous avez daigné accepter nous présenter à l’engagement définitif dans la grande famille oblate. Nous vous en sommes reconnaissants, que Dieu soit loué. Nous vous prions de ne point nous oublier dans vos prières. Priez pour que Dieu puisse continuer en nous ce qu’il a commencé.

Pour finir, nous disons un grand merci aux associés oblats qui se sont donnés de la peine pour la décoration de cette Eglise et à l’organisation de cette fête. A la plate forme de la chorale qui, par leur chant ont soigneusement aidés à bien prier, vous avez une voie on ne  peu plus angélique. Que Dieu vous bénisses.

          Puisse la Vierge Marie nous aider à aller de l’avant à devenir un signe authentique du Christ dans le monde. De suite, tout comme les vœux temporaires, que les vœux perpétuels nous aident à rendre présent le Christ par nos témoignage personnel.

 
                                                                                  PATIZERE Jacques, omi.

vendredi 17 août 2012

Oblation perpétuelle des jeunes Oblats de Marie Immaculée



 Le mercredi, 15 août 2012, jour de la fête de l'Assomption de la très Sainte et Immaculée Vierge Marie, à eu lieu à Yaoundé au Cameroun l'oblation perpétuelle des 9 jeunes Oblats en la Paroisse Saint Tobie et Raphael d'Oliga, devant le révérend père provincial Raymond Pierre NANI de la province du Cameroun, délégué du Supérieur Général des OMI.. Ces profès perpétuels ne sont pas tous de la province; cinq sont de la province du Cameroun, trois de la délégation de Madagascar et un de la Zambie. Loué soit Jésus Christ pour ce grand évènement.















vendredi 1 juin 2012

Afrique mon Afrique!


        Afrique mon Afrique!!! Faut-il encore croire en ton destin? Toi qui dit-ton, est une terre bénis de Dieu mais qui en réalité sert d'abri au diable. Terre où génocide, coup d'état, anarchisme et que sais-je encore, sont justifiables! Pis encore, avec cet impérialisme et cette néo-colonisation qui sans cessent te maintiennent à genoux au lieu de te faire avancer! On réduit à mort tous ceux qui osent ...élever leur voix contre ce système criminel et, qui prônent ton développement interne. On te fracasse par des conflits égocentriques et contre toi même tu ne cesse de te massacrer. On te cajole par des beaux discours et sans pitié tes enfants s'entretuent. Jusqu'à quand le vent de la démocratie qui te fera enfin voir la paix, sortir de ta misère? Quand cesseras-tu de subir, de te plier de te replier? Quand cesseras-tu de subir l'humiliation? Tes enfants qui ont osés, nous les pleurons encore. Qui peut prendre encore le risque de devenir un nouveau LUMUMBA, un nouveau Thomas SANKARA, un nouveau NGARTA TOMBAL-BAYE, un nouveau Laurent Désiré KABILA, un nouveau KADAFI... Peux-tu donner un Martin Luther, un GANDHI à tes fils? Oh Afrique!!!!!!!

Lumière du monde



Un chrétien, selon les recommandations de notre Seigneur Jésus Christ devrait être lumière au milieu de ce monde de "tenèbres". Mais malheureusement, à observer notre vie de très près, nous sombrons plutôt dans la tenèbre. Que faire? Le message est claire: se convertir. La conversion ne concerne pas seulement les temps forts de l'Eglise. C'est un effort à déployer au jour le jour. C'est seulement ...ainsi que nous pourrions être lumière dans ce monde. Sans cela, nous pouvons être lumière mais qui rassemblerait des insectes autour d'elle(comme à l'exemple d'une lampe allumé au village pour ceux qui y ont vécu. Avant de s'éclairer soi-même, c'est d'abord les insectes qui y accourent le premier) plutôt que les grâces divines nous permettant d'être véritables témoins du Christ. Il est temps mes frères, et chacun est capable par le secours de la grâce de Dieu d'être lumière parmis les siens. Puisse le Bon Dieu nous aider dans ce sens.
                                                              PATIZERE Jacques,omi

vendredi 25 mai 2012

Saint Eugène de Mazenod, Evêque et Fondateur de la Congrégation des Oblats de Marie Immaculée


La date du 21 mai de chaque année est un grand jour pour les Oblats de  Marie Immaculée du monde entier et ceux du Congo en particulier, surtout ceux de Kinshasa ; car, non seulement elle se fête entre nous oblats, mais aussi c’est la fête patronale de notre complexe universitaire religieux : Institut de Théologie ISEM/IASMI Saint Eugène de Mazenod de Kintambo.
Tout a commencé par la fête patronale de l’Institut. La messe a été présidée par monseigneur Timothée BODIKA, l’un des évêques auxiliaires de Kinshasa et ancien professeur de l’Institut.